Avec la droite extrême, coups tordus et turpitudes volent bas et en escadrille

Le scénario propagandiste ne se renouvelle pas, les coups tordus arrivent toujours après que la droite extrême ait subi un échec politique ou pour masquer quelques turpitudes.

En juillet 2020, la rocambolesque menance de mort profèrée à l'encontre de la conseillère départementale, silencieuse pendant toute la durée de son mandat, de Seine Saint Denis, au bas de son appartement rue Lauriston dans le XVI° arrondissement, par de soi-disant spadassins du maire LR d'Aulnay-sous-bois. Dénonciation, qui arrivait après que le Président de Paris Terre d'envol ait imposé et soutenu un projet de JC Lagarde, député UDI de Drancy et pour des différents concernant l'attribution de marchés d'entretien des réseaux d'assainissement. C'est fou comme ils s'aiment à droite.

En mai 2021, la multiplication des listes de droite, pour masquer la dispersion et la division de la droite locale, organisation d'un nouvel écran de fumé. Car parmi les candidatures de droite, une comporte une ancienne adjointe maire déléguée à la vie associative de 2014 à 2020 et d'un ancien membre du cabinet de la municipalité. L'épisode précédent aurait pu suggérer aux  maires de Drancy et d'Aulnay-sous-bois la tentation d'aider les vocations de militants de droite au Blanc-Mesnil.

Cette pratique politique qui s'accompagne toujours de la violence, commence à délier les langues, il se raconte que l'année dernière la droite extrême aurait menacé des responsables de sociétés logements sociaux qui auraient l'audace de refuser une tentative manipulatoire politicienne pendant le premier confinement.

Ce type de manœuvre aurait, aussi, existé pour essayer d'obtenir la destruction de la cité du 212, avenue du 8 mai 1945, pour permettre à la spéculation immobilière et commerciale d'y faire quelques affaires bien juteuses.

D'autres s'étonnent de voir l'attribution d'un marché de construction d'école «au nom du meilleur rapport qualité prix» et constater quelques semaines après le début des travaux, un avenant pharamineux, qui en augmente considérablement le prix, à la suite d'une étude opportune qui aurait constaté que qu'un cuvelage s'avérerait nécessaire, voire obligatoire. Etude qui semblerait impossible de voir, pour vérifier son bien fondé.

La privatisation du nettoyage des bâtiments communaux, comporteraient, aussi, quelques perles, comme l'attribution d'un marché à une entreprise Blanc-Mesniloise amie, dont la commune serait pratiquement l'unique cliente. Entreprise qui méritérait surement des contrôles fiscaux et de l'inspection du travail.

Comme vous le voyez, avec la droite extrême coups tordus et turpitudes volent en escadrille.