43 femmes tuées depuis janvier, le laxisme de Macron et de l'extrême droite est l'expression de la violence de leur politique

Les médias aux ordres, poursuivent leur politique de désinformation, pour vanter  politique efficace sur la sécurité publique et masquent  l'aggravation des violences faites aux femmes.

43 femmes tuées, depuis janvier par leur conjoint ou leur ex conjoint, depuis 28 mois nous en sommes à 293 femmes tuées. Macron, la droite extrême et les extrême droite sont d'un silence assourdissant, car, pour eux seule la lutte contre l'insécurité de leurs intérêts politiciens compte. La mort d'une femme ne compte pour rien, pour ces défenseurs zélés de la finance.

Combien faudra-t-il de femmes tuées, pour le gouvernement prenne enfin les mesures nécessaires pour arrêter le massacre.

Mais, pour arrêter le massacre, il faudrait que les politiques de baisses des dépenses publiques cessent. Car cette politique qui conduit à la réduction des moyens de l'Etat, frappe d'abord les plus faibles et les plus vulnérables les femmes et leurs enfants.

Nous ne sommes dupes de rien, lorsque il faut faire des choix dans la suppressions des postes dans la police et dans la justice, les restrictions se font toujours vers les services indispensables à la protection des femmes, plus de service dédié dans les commissariats, plus de moyens pour suivre et mettre en place les mesures judiciares prises à l'encontre des «hommes» violents, plus de moyens pour accueillir les femmes en danger.

La politique néo libérale de la droite et la politique ultra libérale de l'extrême sont par nature des politiques violentes. Car elles ont besoin de la violence pour imposer leur domination. Dans ce cadre, la droite et l'extrême sont prêtes à voter des lois anti-constitutionnelles et anti répulicaines. Elles evitent de stigmatiser la violence masculine pour entretenir la division femme/homme pour combattre leur haine de l'égalité.

Pour le néo libéralisme de la droite et pour l'ultra libéralisme de l'extrême droite laisser se développer les violences à l'encontre des femmes fait totalement partie de leur stratégie politique pour servir des intérêts qui vont à l'encontre de l'intérêt général.

Cette politique, nous la constatons lorsque les municipalités de droite extrême du Blanc-Mesnil et d'Aulnay sous bois s'attaquent de manière frontale aux outils qui avaient été mis en place, fermeture d'un Toit pour elle, à Aulnay. La fermeture, dès 2014, du service public qui protégeait et accompagnait les femmes victimes de violence au Blanc-Mesnil.

Ces actes sont l'expression d'une volonté d'entraver l'action de celles et ceux qui luttent contre la violence faites aux femmes et pour l'égalité, elles sont l'expression visible de la violence des politiques néo libérales et ultra libérales

La mobilisation pour lutter contre les violences faites femmes, doit se renforcer et s'accélèrer pour imposer des mesures immédiates et nous le savons maintenant la lutte contre les violences faites femmes et la lutte pour l'égalité femme/ homme doivent être un des moteur de la construction d'une alternative de transformation sociale et écologique.

Nous devons utiliser tous les moyens à notre disposition pour imposer un réel rapport de force, pour obtenir les moyens nécessaires pour lutter contre les violences faites aux femmes.

Notre bulletin de vote est des moyens pour faire bouger les lignes.

Les 20 et 27 juin 2021, votez et faites voter pour les candidats de gauche et de l'écologie.