
L’un des arguments les plus éculés contre les propositions économiques de la gauche sociale, celle qui est prête à nationaliser, a investir plutôt que de réduire les impôts des plus riches, à augmenter le pouvoir d’achat et les salaires, à plafonner les loyers, qui veut à la fois de la recherche publique et des services publics forts, créateurs de valeur sociale, c’est l’effondrement du déficit commercial que provoquerait toute relance de la consommation des ménages modestes.
Et bien voici l’évolution du déficit commercial...
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