Depuis 2014, ls oukases de Béton Mesnil saccagent le bien vivre ensemble du Blanc-Mesnil que nous aimons!

Depuis hier, 18h grosse fuite d'eau au carrefour Pasteur/Barbusse/division Leclerc, une grande partie du quartier est privé d'eau, le lycée Mozart est fermé cet après-midi, sa communauté éducative n'avait pas besoin de cela.

Depuis 2014, il ne se passe pas une semaine sans qu'une rue, un quartier, un immeuble subissent les conséquences de la politique irresponsable de Béton Mesnil. Du béton et des dégâts partout.

Depuis 2014, tout est fait en dépit du bon sens, on bétonne a tout va, sans penser aux équipements nécessaires pour assurer le bon fonctionnement du bien vivre ensemble, les réseaux électrique, d'eau d'assainissement maltraités, la voirie saturée, dévastée, les trottoirs saccagés défoncés et interdits aux piétons.

Seules les exigences de la spéculations immobilières et financières sont prises en compte.

Depuis 2014, nous sommes passés de sauvons à saccageons les pavillons.

Depuis 2014, des centaines pavillons ont été détruits et le moloch de la spéculation immobilière exige la destruction de centaines d'autres, comme par exemple dans les rues Victor Hugo, Plisson, Paul Legarrois, Pégoud, Emile Bident, Cartigny, Voltaire,, Jean Catelas,, François Garcia, de la Concorde, Marcel Deboffe et les avenues Henri Barbusse, Paul Vaillant Couturier, Charles Floquet, de la République, de la Paix, de l'Esperance, Baptiste Huel, Pierre et Marie Curie, même des copropriétés sont danger, sans oublier les centaines de logements sociaux, des Tilleuls, Jean Pierre Timbaub et ceux des rues Dreyfus, Bobby Sand, Floréal. Mais aussi de la maison de retraite Gaston Monmousseau et la préparation pour demain de la destruction de la résidence Maria Valtat, la vente de 4887m² du parc Jacques Duclos et l'organisation de la disparition du foncier dédié au développement économique et l'emploi, qui fera disparaître plueieurs centaines d'emplois avec le départ de Paprec, Air Liquide.

Depuis 2014, la casse est l'unique moteur de la politique, que nous subissons, suppression des outils de lutte contre les violences faites, fermeture de la bourse du travail, fermetures des MPT, privatisation du nettoiement des rues, des crèches, d'une partie de la restauration scolaire (oublier la cantine gratuite) l'abandon des colonies de vacances, la vente du centre d'entreprise Einstein qui fait perdre 600 000€ de recettes locatives aux finances locales, l'imposition de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères en 2021, 300€ d'impôts supplémentaires, TEOM qui avant était prise en charge par le budget général de la Ville, pour 5 millions d'euros. Sans oublier le stationnement qui est devenu pratiquement payant vue la distribution sauvage des amendes à 35€.

Il y a urgence à faire cesser les oukases de Béton Mesnil, qui servent les intérêts de la spéculation immobilière et financière qui s'enrichit sur le dos des Blanc-Mesnilois.