SAUVONS LA RESIDENCE MARIA VALTAT, LE SACCAGE DES BIENS PUBLICS PAR LA DROITE EXTREME CA SUFFIT!

Nous le savons, depuis longtemps, la sphère financière s'attaque à tous les aspects de la vie, pour faire du fric. Pour cela, elle attaque, déstabilise, détruit de manière systématique à toutes les formes de solidarité collective.

Au Blanc-Mesnil, la droite extrême participe et soutient cette politique.

Un livre vient de mettre en exergue un des aspects les plus scandaleux de cette politique. Nous apprenons qu'une entreprise ORPEA a mis en coupe réglé les retraités qui avaient fait le choix de vivre dans les résidences de ce groupe financier. Ce que nous apprenons sur les pratiques de la sphère financière est proprement scandaleux et les propos surpris et compassionnels du gouvernement Macron ne méritent que notre mépris et notre condamnation. Depuis 5 ans, Macron encourage, favorise ces choix de la sphère financière, qui détruisent le contrat social et les valeurs qui fondent notre République.

Au Blanc-Mesnil la droite extrême soutient et encourage la sphère financière.

Cette scandaleuse politique, au Blanc-Mesnil, la municipalité de droite extrême y participe activement. Dans Folio du Blanc-Mesnil, nous dénonçons, déjà, depuis plusieurs semaines, le choix qui a été fait par la municipalité de droite extrême de détruire la résidence Maria Valtat.

La résidence Maria Valtat a été construite par la municipalité de gauche. Depuis, que la municipalité de droite extrême gère cet équipement de solidarité, elle organise sa disparition, en effet dès qu'un logement devient disponible, il devient un logement inoccupé. Méthode néo libérale bien connue, on sabote l'équipement, pour affirmer que sa gestion devient insupportable pour les finances publiques, pour justifier sa fermeture et sa disparition.

Au Blanc-Mesnil, la droite extrême sabote Maria Valtat, pour favoriser un établissement privé en gestation.

La résidence Maria Valtat est un équipement de solidarité tout a fait adapté pour accueillir les retraités Blanc-Mesnilois, dont majorité vit avec une très petite retraite et dont plus de 2500 vivent sous le seuil de pauvreté. Mais, la situation économique sociale difficile de la majorité des retraités Blanc-Mesnilois n'intéresse pas la municipalité de droite extrême, son unique centre d'intérêt étant de favoriser la production de dividendes.

Au Blanc-Mesnil, la droite extrême ne s'intéresse pas aux difficultés sociales, économiques et de logements des retraités.

La résidence Maria Valtat s'établi sur un foncier de près de 10 000m², dès lors, son sort était celé. 10 000m² à quelques encablures d'une station de métro express du Grand Paris, voilà qui, aiguise les appétits de la spéculation immobilière, encore une belle occasion d'élever un monumental mur de béton. La municipalité de droite extrême complaisante met tout en œuvre pour faciliter les désirs des toupies à béton.

La résidence Maria Valtat, par son caractère solidaire, par la qualité de son bâti et de ses prestations est un exemple intolérable, pour celles et ceux qui souhaitent faire du fric sur le dos des retraités et leurs enfants, dès lors sont sort était celé, elle devait disparaître, pour permettre l'implantation d'une maison de retraites dite de luxe, pour mieux piller les personnes âgées. Car chers concitoyens, si la municipalité de droite extrême organise la disparition de la résidence Maria Valtat c'est pour permettre à des groupes financiers d'implanter sur notre commune des EHAPD, dont le seul objet est de faire du fric, beaucoup de fric sur le dos des retraités et de leurs enfants.

Au Blanc-Mesnil, la droite extrême pille les biens communs pour alimenter la tirelire des banques d'affaires, des spéculateurs immobiliers, des boursicoteurs. Ce vandalisme, ce saccage des biens publics ça suffit!

ENSEMBLE SAUVONS LA RESIDENCE MARIA VALTAT.

Comments

[Une des rebelles]

J'habite à Maria Valtat depuis fin 2007 et comme ceux qui restent je ne veux pas partir .. cela fait 5 ans qu'on nous menace du spectre d'un déménagement et que l'on nous plombe le moral avec ca ...

On ne veut pas partir ...