COP 26: la sphère financière, Macron, avec la complicité de l'extrême droite Blanc-Mesniloise, ont choisi le chaos

Au moment d'une accélèration de la crise climatique, dans lequel sont menacées les conditions environnementales de la survie d'une part croissance de l'humanité,la Cop 26, accouche, avec la complicité active du gouvernement Macron, d'une conclusion qui est un véritable scandale. Nous pouvons, d'ores et dejà qualifier, sans préjuger d'éventuels sursauts politiques, les conclusions de la Cop 26, de véritable catastrophe.

Les gouvernements inféodés, à la doxa néo libérale et sous la pression des plus ultras d'entre eux, sont opposés toute vélléité régulatrice nous présentent de vagues engagements pour 2050. Dans le même temps , nous savons d'expérience, qu'ils feront tout pour empêcher la mise œuvre de décisions immédiates, incontournables pour engager une transition climatique.

Pour les néo libéraux, et les plus ultras d'entre eux la transition climatique, écologique et sociale est un ennemi mortel. Ils prétendent agir pour le long terme, pour masquer leur volonté que rien ne bouge, leur unique préoccupation étant d'amasser le maximum de profits dans un minimum de temps en faisant main basse sur les biens communs.

Les propositions sur le nuclèaire s'inscrivent dans cette objectif. Pour cela, ils réactivent une politique énergétique vieille de plus de 50 ans. Ils avancent la construction de centrales EPR. Or, cette proposition ne fonctionne nulle part, en France cela fait plus 10 ans qu'ils essaient de la mettre en œuvre, sans succès et avec un coût de plus en plus exorbitant. En clair sous convert de modernité, ils essaient de nous vendre une usine à gaz, qui ne propose aucune garantie de bon fonctionnement, qui coutera des dizaines de milliards d'euros et fonctionnera dans le meilleur des cas qu'après 2030, voire 2035. Le comble du cynisme, ils nous proposent un projet, alors qu'ils ont démantelé la filière indiustrielle française de production des turbines, en vendant l'Alstom, pour s'assurer des profits spéculatifs et en nous faisant perdre les savoirs faire français dans ce secteur de haute technologie.

Donc, ils nous proposent de gaspiller des milliards, pour un 'hypothétique résulat en 2035, alors qui faut investir maintenant pour mettre en œuvre des mesures concrétes pour limiter l'empreinte carbone.

Nos propositions pour agir dès maintenant : développer le solaire, la géothermie, l'éolien et l'hydoélectrique de proximité. Dans le même temps agir pour réduire la consommation d'énergie, en mettant en place une politique massive d'isolation thermique, définir des nouvelles normes pour rendre toutes les nouvelles constructions neutres en matière énégétique, en rendant obligatoire l'installation des panneaux solaires sur toutes les formes de toitures, sur toutes les nouvelles constructions privées et pubiques

Nos propositions sont créatrices d'emplois, d'emplois qui ne sont pas délocalisables.

Nous devons agir au Blanc-Mesnil, car notre ville est sous la coupe de la spéculation immobilière qui définit l'urbanisme de notre ville en dehors de tout débat et de tout contrôle démocratique. La folie de Béton Mesnil favorise de manière exponentielle la production de gaz à effet de serre, qui se multiplie avec une saturation de la voirie. Béton Mesnil ruisselle partout, massacre le patimoine arboré de notre ville et le parc urbain dont 4882m² ont été vendus à la Cogédim. De plus, les quelques 11 000 appartements construits ou en construction , pour assurer le maximum de profits sont bâtis avec des normes environnementales minimales, voire obsolèles.

Cette attaque, contre nos conditions de vie et la transition climatique s'est aggravée avec la décision de transférer 60 hectares supplémentaires du territoire de notre commune à la sphére financière immobilière.

Ce crime contre la planète a déjà des conséquences visibles, les résurgences d'eau dans le parc urbain qui entraînent sa fermeture. Elles sont selon toutes vraisemblences le résultat de l'artificilisation massive des sols de notre commune et plus particulièrement aux abords du parc urbain communal le plus grand de toute la Seine Saint Denis. Lés bétonneurs et leurs complices locaux ne peuvent en aucun cas dire qu'ils ne connaissaient pas la nature particulière du sous-sol Blanc-Mesnilois et le passage du futur metro express du Grand Paris.

Ce qui se produit dans le parc urbain, est le résultat des choix irresponsables de l'extrême droite locale inféodée à la spéculation financière et immobilière. Ces choix sont dangereux pour l'avenir de la planéte.

Cette politique totalement irresponable, criminelle pour aujourd'hui et pour les générations à venir, doit être combattu avec la plus extrême énergie.

Cette politique dangereuse et irresponsable localement est à l'image de celle que veulent poursuivre les néo libéraux et aggraver les plus ultras d'entre eux.

Au Blanc-Mesnil, pour assurer une rentabilité maximale, les normes environnmentales sont réduites à leur plus simple expression. L'extrême droite qui sert les objectifs des ultras libéraux participe et exprime sa volonté de supprimer toutes les règles et toutes les normes qu'elle considère comme autant d'entrave à l'accumulation rapide des profits pour une extrême minorité de profiteurs qui ne vivent que grâce à la prédation des biens communs.

Dans ce cadre, allons-nous encore longtemps tolérer, qu'un militant actif de la campagne du candidat fasciste instrumentaliser et financer par Bolloré, continue d'être encore salarié et payé par nos impôts locaux, alors que ceux-ci ont déjà contribué au financement à hauteur de 20 000€ de la campagne de ce candidat nauséabond.

La bataille pour la transition climatique et écologique est aussi une bataille pour une alternative de transformation sociale, pour peser au niveau planètaire, elle doit se mener avec la plus extrême énergie aux plus des réalités locales et dans les entreprises.

Nous devons agir localement, pour ce combat planètaire, pour imposer une transition climatique, écologique et sociale  efficace.