Au Blanc-Mesnil, comme ailleurs: LAISSONS LA PEUR DU ROUGE AUX BETES A CORNES

Des imbéciles distillent, dans un torchon payè par nos impôts locaux, leur haine, car ils ont peur de la démocratie. Ils sentent, que jour après jour,leur violence, leur cynisme, leur mépris et leurs mensonges deviennent de plus en plus insupportables aux Blanc-Mesnilois.

Alors, tel le rédacteur du journal collabo, nazi, Je suis partout, le plumitif local subventionné, lui aussi par nos impôts locaux éructe et tente de s'ériger en maître à penser, pour instruire à charge le procès de la liberté de la presse.

Dans ce cadre, il est savoureux de lire le réquisitoire, où chaque mot, chaque affirmation mettent en exergue la réalité du contenu du soi-disant journal municipal.

Ne soyons pas dupe, cette logorrhée digne d'un journal collabo est avant tout un immense écran de fumée, pour tenter de faire disparaître du débat municipal l'attribution d'une subvention, à l'officine d'extrême droite Alexandre et Aristote, de 20 000€, qui pourrait être partie alimenter les comptes de campagne du candidat de Vincent Bolloré.

Ce dossier doit être bien brûlant pour que tant d'énergie soit développer pour créer une diversion.

Mais, la ficelle est un peu grosse. Les attaques contre le journal Le Parisien, dont le propriétaire est le groupe LVMH de Bernard Arnault, pour essayer de nous faire croire que ce dernier est devenu une succursale du PCF, voir un supplément de l'Humanité démontre l'incommensurable imbécilité du pisse copie. A vouloir trop démontrer, le plumitif local nauséabond ne fait que nous convaincre que lorsque l'on a le cul sale on se torche.

Depuis 2014, avec la spéculation immobilière, beaucoup, beaucoup d'argent circule, et une partie de celui-ci doit ruisseller,favoriser des intérêts particuliers et participer au financement occulte de quelques campagnes électorales présidentielles.

Cette fébrilité, nous indique, ainsi, clairement au service de qui le clan de droite extrême de notre commune a fait allégeance. Ce clan sans foi, ni loi est au service des capitalistes les plus radicaux dont le leader en France est Vincent Bolloré. Nous ne devons pas être dupe le croquemitaine fasciste est la marionnette de la sphère financière autoritaire la plus prédatrice.

Cette sphère financière autoritaire, combat toute forme de solidarité collective, ses partisans prônent un Etat minimal uniquement dédié à protéger ses intérêts, quitte à réduire les libertés civiques et démocratiques. N'ayant que comme seul projet d'élargir ses sources de profits. Ces acteurs financiers s'attaquent, aussi, à l'environnement, qu'ils sont prêts à acheter et vendre par morceaux. Les désordres économiques et politiques mondiaux qui ne cessent de croître sont loin d'être un frein à leurs ardeurs prédatrices et bien au contraire, ils envisagent désormais l'éventualité de conflits militaires qui se dessinent au Sud comme Nord.

Chères Blanc-Mesniloises et chers Blanc-Mesnilois, voilà de quoi sont complices le clan d'extrême droite, qui use et abuse des biens communs de notre ville pour servir des intérêts qui veulent la destruction de l'Etat providence, du contrat social qui fonde la République.

Ce clan d'extrême droite local sert de très puissants intérêts financiers, qui ont toujours combattu le programme des jours heureux du Conseil National de la Résistance, qui sont des nostalgiques de Pétain, qui regrettent le temps où sous le joug nazi, ils pouvaient écraser le mouvement ouvrier.

Aujourd'hui, si ils sont si vindicatifs et dépensent autant de moyens financiers c'est qu'ils savent pertinemment, que le mouvement social dans sa très grande profondeur construit une alternative de transformation sociale et écologique.

Alors, laissons la peur du rouge aux bêtes à cornes.