MEIGNEN: AU BLANC-MESNIL, 10 FEMMES AGRESSEES EN QUELQUES SEMAINES, A QUOI SERT VOTRE VIDEO SURVEILLANCE!

Dans le journal électoral de Pénélope Cerrigone c'est à dire le n°54 du « journal municipal », nous pouvons lire avec délice l'éditorial de Meignen « surveiller et punir », bien sure, il ne s'agit pas pour lui d'exiger que les spécialistes de l'évasion fiscal, des abus de biens sociaux ou des emplois fictifs soient hors état de nuire.

Non il s'agit d'un éditorial pour dire tout le bien de sa vidéo surveillance.

Nous apprenons que depuis le premier décembre 2016, le centre de supervision urbain, fonctionne à plein régime. Nous apprenons que les agents sont en mesure d'alerter les équipes sur le terrain de manière à prévenir un délit.

Voilà pour la communication politicienne, du maire de droite extrême.

Dans le journal Le Parisien édition de Seine Saint Denis parue le 28 janvier 2017 on peu lire : « Au Blanc-Mesnil 10 femmes agressées....en quelques semaines, elles sont dix femmes âgées d'une trentaine ou une quarantaine d'année à s'être fait arracher leur sac ou voler leur téléphone....une victime enceinte s'est vue prescrire 7 jours d'incapacité totale de travail....

Mettre un nom....(sur l'agresseur) n'a pas été simple les agressions s'étant déroulées en dehors des champs de vision des caméras. »

L'agresseur a été mis sous les verrous, grâce au travail minutieux des fonctionnaires de la police nationale.

Voilà, la réalité et elle est bien loin de la communication politicienne de Meignen.

Comme nous avons déjà évoqué dans Folio et dans interview au Parisien, nous réaffirmons de que le réseau de vidéo surveillance de maire de droite extrême a été implanté sans concertation, que son implantation de manière quasi exclusive sur les grands axes de circulation n'a pas pour fonction «  de surveiller et punir » mais de faire croire au Blanc-Mesnilois que la municipalité de droite extrême se préoccupe de la prévention et de la répression de la délinquance.

Depuis avril 2014, avec nos impôts locaux MEIGNEN dépense beaucoup d'argent et ces dépenses n'ont aucune efficacité. D'ailleurs, les chiffres publiés par un syndicat de policiers municipaux indiquent que Blanc-Mesnil est dans le top 10 des villes de la Seine Saint Denis en matières de délinquance. Il faut savoir qui se produit dans notre ville plus de 2 actes de violence faites aux personnes par jour.

Face à cette réalité que fait MEIGNEN à part nous pipoter dans ses éditoriaux.

RIEN !