Sécurité publique: l'UMP à la ramasse, dans la boue, dans le déni de la réalité, dans la manipulation comme d'habitude
Tels les charognards, les responsables de l'UMP se précipitent sur les drames, sans vergogne, sans respect pour la douleur des familles frappés par un drame privé. Tellement avide de notoriété de bas instinct, ils se complaisent dans la boue qu'ils remuent.
Pour cela ils font le pari de la mémoire courte. Les responsables UMP locaux ont soutenu de 2002 à 2012 toute la politique de Sarkozy. Ils se réveillent à quelques encablures d'une élection locale. Nous allons donc leur rafraîchir leur mémoire défaillante.
La ville du Blanc-Mesnil a été la première ville à signer un Contrat Local de Sécurité, avec le ministre de l'Intérieur Daniel Vaillant, contrat qui a permis le déploiement de la police de proximité sur notre commune et les effectifs de la police nationale n'ont jamais été aussi importants sur le territoire communale, près de 150 fonctionnaires de la police nationale.
Dés son arrivée au ministère de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a supprimé la police de proximité en septembre 2002, résultat au Blanc-Mesnil la suppression de 48 postes de fonctionnaires de police
OU ETIEZ VOUS MONSIEUR THIERRY MEIGNEN ?
QU'AVEZ FAIT POUR VOUS OPPOSER
A LA SUPPRESSION DE CES 48 POSTES DE POLICIERS
AU BLANC-MESNIL
RIEN
Non content d'avoir fait baisser massivement les effectifs du commissariat de notre ville, Nicolas Sarkozy a fermé la gendarmerie de notre ville :
OU ETIEZ VOUS MONSIEUR THIERRY MEIGNEN ?
QU'AVEZ VOUS FAIT POUR VOUS OPPOSER
A LA FERMETURE DE LA GENDARMERIE DU BLANC-MESNIL
RIEN
La baisse des effectifs a eu entre autre conséquence la réorganisation de la BAC, pour masquer cette situation catastrophique et la fin de la police de proximité. Les maigres effectifs restants ont été regroupés à Bobigny. Cela n'a pas été sans conséquence sur le drame qui a coûté la vie a l'un de nos concitoyens antillais au petit matin d'un premier janvier. En effet, le temps trop long pour intervenir a permis au drame de se dérouler.
OU ETIEZ VOUS MONSIEUR THIERRY MEIGNEN ?
QU'AVEZ FAIT POUR PROTESTER
POURQUOI N'AVEZ VOUS PAS ORGANISE UNE CONFERENCE DE PRESSE
POUR DEMANDER DES COMPTES A SARKOZY.
COMME D'HABITUDE VOUS N'AVEZ RIEN FAIT.
En un mot de 2002 à 2012 monsieur Thierry Meignen, vous n'avez rien dit, rien fait afin que vos amis du gouvernement assurent la sécurité des Blanc-Mesnilois. Par votre silence vous avez accepté cette situation et vous avez soutenu la politique de Nicolas Sarkozy qui a conduit à la suppression de 14000 postes de fonctionnaires de police. Monsieur Meignen comme Sarkozy vous avez été responsable de la dégradation de la sécurité publique de 2002 à 2012.
Nous constatons que curieusement même si cela n'est pas encore à la hauteur de nos exigences, depuis le retour de la gauche au gouvernement les effectifs de la police nationale, dans notre ville, sont de 125 policiers, soit 25 de plus que sous l’ère de Nicolas Sarkozy.
Par ailleurs en ce qui concerne la création de la police municipale pendant le mandat qui s'achève à aucun moment vous n'avez pris une quelconque initiative.
Que vous le vouliez ou non c'est la gauche qui aura créé la police municipale au Blanc-Mesnil, le 19 décembre 2013.
MONSIEUR MEIGNEN NON SEULEMENT VOUS VOUS REPAISSEZ SUR LE MALHEUR DES FEMMES ET DES HOMMES DE CETTE VILLE
MAIS EN PLUS VOUS ETES COMME
LES CARABINIERS VOUS ARRIVEZ TOUJOURS APRES LA BATAILLE.